Les p'tits textes d'Elie. Ou Loulou. =)

Hey tout le monde !
Sur ce topic, je posterais des petits textes, des Rp's, et sûrement des petits morceaux de mes histoires pour avoir vos avis. ^^

Je me lance avec ce premier petit texte que j'ai écrit il y a pas longtemps (Désoler, il est très court):



La pluie tombe abondamment. L'eau coule sur les vitres et dans les caniveaux, inondant peu à peu la ville. L'orage ne tarde pas à la rejoindre. Ensemble, ils dansent avec ferveur le ballet des Caprices du Ciel ; forçant ainsi les petits être humains, si insignifiant comparer à leur beauté et leur puissance, à se cloitrer dans leur maison. Mais l'un d'eux reste obstinément dehors, ignorant la fraicheur de la pluie. La tempête redouble ses efforts, mais rien n'empêche l'adolescent de rester sur une chaise, dans le jardin de quelqu'un d'autre. Il se moque bien d'avoir une journée fraiche et orageuse plutôt qu'une journée chaude et ensoleillé. Qu'importe, il attendra. Il restera assis, les bras croisé, tant que la porte en bois ne se sera pas ouverte. Son regard perçant scrute les fenêtres, mais de long rideaux blancs l'empêchent de voir à l'intérieur de la grande maison. Glacial et avec un air hostile, il observe les murs jaune-doré de la maison et leurs quelques fissures qui lézardes discrètement. Les volets sont grands ouverts. Il ne perçoit pas l'ombre d'une lumière à l'intérieur, ni même un quelconque mouvement à travers les rideaux à moitié opaques. Ses yeux se fixent à nouveau sur la porte. Il fronce les sourcils en émettant un grognement d'impatience. Décidé, il se lève et frappe contre la porte en bois de chêne avec force et fermeté.

" Lucy! J'en ai assez! Ouvre moi! Ouvre cette porte je sais que t'es là! "

Un silence lui répond. Pas un bruit, rien. Pourtant il en est sûrs. Il sait qu'elle est là, derrière la porte à l'écouter. Sourit-elle ironiquement ? Souffre-t-elle de la situation ? Il ne connait pas la réponse. La pluie battante le glace jusqu'aux os, mais il ignore les tremblements incessants de tous ses membres. Il a besoin d'explications, maintenant. Savoir ce que tout cela signifie... C'est devenu pour lui un besoin vital. Il arrête de marteler la porte et pousse un soupir, presque comparable à un grognement. L'adolescent est à la fois agacé et désappointé par le silence que s'entête à garder son amie.

" Bordel Lucy, ouvre! "

Il maltraite de nouveau la porte à force de coup de poings de plus en plus en fort. La colère s'empare de lui, son expression devient folle, il est incontrôlable. Ses cheveux épais sont ruisselants. Ses habits sont trempés et dans un état pitoyable. En voyant ce jeune homme tentant de détruire une porte par rage, n'importe qui le prendrait pour psychopathe. Mais il n'est pas fou, juste désespéré d'obtenir une réponse. Seulement, la jeune fille derrière la porte a décidé qu'elle ne répondrait pas. Sa décision est irrévocable, et pourtant l'adolescent égaré continu à attendre une réponse sous la pluie.

Voila, vous des avis et des conseils à me donner ? Merci d'avance, je posterait d'autres textes bientôt.

Il y a une suite (: ? ♥
J'aime beaucoup ^^ fais juste attention aux repetitions et fautes d'orthographe(;

Non, c'est juste un petit texte comme ça.^^ Mais si je suis inspiré, j'en ferais peut être une XD
Merci <3
Ok merci! Il faut vraiment que je retravaille ma relecture ^^'

J'aime. °°

Merci Utopie!

Voici une poésie que je dois remettre à mon prof de français lundi XD:

Le loup

Cet animal merveilleux et sauvage
Inspirant des légendes invraisemblables
On peut le voir filer à travers les arbres
Tel un éclair argenté zébrant le ciel.

Son pelage soyeux ondule sous le vent
Sa gueule s’ouvre sur de longs crocs luisants
Et dans ses pattes immenses
Se cachent de fines lames tranchantes.

Ses yeux d’ambre sont des flammes ardentes
Dans nos impures coeur, symboles de peur
Dans sa vie sauvage, preuves de courages

A son approche, le bruit est silencieux
Mais quand la lune pâle s’élève dans le ciel
Avec attention elle tend l’oreille
Pour entendre les hurlements mélodieux
D’une meute forte, fière et unie.

Des avis?

C'est joli. Dommage qu'il n'y est pas plus de rime. ^^ Fais attention aussi, je ne sais pas si on peut mettre un paragraphe de quatre vers, puis trois, puis cinq. Je crois que c'est : quatre, quatre, trois, trois ou alors quatre fois quatre.

Coucou, merci d'avoir répondu! Je sais mais le prof voulait que l'on écrive en vers libre, c'est à dire sans aucune règle de syntaxe ou même de versification. Du coup, on pouvait absolument tout faire (Et en plus je suis pas douée en poésie XD). ^^

Oooh, j'apprécie ton style. ^^ Que ce soit en texte ou en poésie. C'est très beau !

Merci Paillou, contente que tu aimes! ^^

Edit-



La vie est imprévisible. Elle nous envoie des projectiles invisibles qui nous tombent dessus sans qu'on ai le temps de réagir. J'en ai reçu un. Je ne m'y attendait pas, je l'ai vraiment pas vu venir. J'étais là. T'étais là. Et il est arrivé, comme ça, sans que j'ai mon mot à dire. J'étais ton amie, tu étais mon amie. Pour toi, cette phrase est encore vraie.  Mais la vie à décider de m'envoyer ça et j'ai changer. J'ai maintenant l'impression d'être assise sur un nuage. Je flotte, flotte dans le ciel. Quand t'es là, j'ai toujours ce sentiment de légèreté. Oui je me sens légère, si légère! Cette sensation, je crois que c'est ce que la plupart des gens appellent avoir des "papillons dans le ventre". Mais étrangement, quand je pense à mes sentiments, cela me fait plus penser à cette image de nuages. Quand t'es là, je ne peux m'empêcher d'être heureuse. Ta présence me donne le sourire, elle me donne la joie de vivre. J'aime tes longs cheveux châtains légèrement ondulés, tes yeux marrons qui brillent, tes ongles que tu ne peux t'empêcher de ronger. J'aime ton caractère sociable, parfois un peu chiant car têtu, mais si attentionné. Oui, c'est bien l'amour qui m'est tombé dessus. Mais toi, toi tu ne partages pas ça. Tu me vois comme ce que j'ai été jusqu'ici: Une amie, c'est tout. Pourquoi, hein? C'est injuste! Je t'aime! Mais tu n'aimes que les garçons. Je ne peux pas avoir la même place qu'eux dans ton coeur. Tu me hantes, le jour, la nuit. Tout le temps, je pense à toi. je n'arrive pas à me défaire de cette emprise, je ne le peux pas, je ne le veux pas. Je ne veux pas t'oublier. Mais on m'a dit que c'était la seule chose à faire... J'ai essayer, seulement, je n'en ai ni la force, ni le courage, ni l'envie.  Et plus j'essais de t'effacer de mon esprit, plus je pense à toi. Car je sais que au fond de moi, je ne le veux pas. C'est dure de te voire tout les jours au collège, d'être obligée de faire comme si de rien n'était. Je n'ose même pas t'avoué mes sentiments, j'ai peur, peur que tu t'éloignes de moi en connaissant mon secret. Alors je ne dis rien. Je me contente de te regarder dans la cour avec discrétion.  De profiter des moments où nous sommes ensembles. je me dis que c'est déjà bien... Mais au fond de moi, je sais, je sais que ça ne me suffit pas. J'ai envie que tu sois plus proche de moi, que tu partages mes sentiments, j'ai envie de te serrer dans mes bras, de te tenir la main et de t'embrasser. Peux-tu entendre ma voix? Entends-tu ce mot que je hurle en silence?  Je t'aime! Ecoutes, je t'aime!

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